Nous constatons qu’une prise de conscience est en train de s’opérer. C’est pourquoi, aujourd’hui, en France, des associations et des entreprises (dont celles citées ci-dessus), mettent leurs énergies et leurs compétences au service de l’innovation écologique. Toutes ces initiatives fleurissantes participent à une société en pleine transition. Nous pensons que la collaboration et la synergie de ces acteurs favoriseront l’émergence d’une intelligence collective nécessaire à la résolution des problèmes que nous avons soulevés.
La matière la plus valorisée est celle du filet de pêche, principalement le polyamide. Mais actuellement les filières ne sont pas encore mises en place.
Concernant les autres plastiques : PET, PEHD, PP, etc. trouvés dans les mers ou ramassés sur les plages, les produits aujourd’hui conçus restent minoritaires pour toutes les raisons que nous vous avons expliqués :
- filières pas encore mises en place
- complexité des matières à recycler
- manque de recherches et d’innovations
- manque d’industriels travaillant sur la valorisation de ces matières souillées
- manque de financements pour aller dans ce sens
Mais nous continuons à creuser en nous renseignant auprès de scientifiques, de plasturgistes, de techniciens de la transformation, de recycleurs, de porteurs de projets.
Vous avez des idées, du réseau, des informations supplémentaires à nous donner ? Nous sommes preneuses !